7/2458. An Charlotte von Stein [Ende Februar 1785?.] Je suis dans la necessité de copier un long discours francois qui ne m'interesse pas beaucoup. Cela me met en train d'ecrire et ma plume ne court jamais plus a son aise que quand il s'agit de te dire ce que tu aimes a entendre. Je te redis donc encore une fois ce soir que je t'aime exclusivement et que ta tendresse fait mon plus grand bonheur. Adieu. Je souhaite comme le Prophete de Zuric que l'encre avec le quel ces lignes sont tracees puisse se changer en feu pour rendre un faible temoignage de mon ardeur. Adieu. J'attens quelque mot de reponse par Friz. G.