17/4810 a . An Anne Germaine de Staël-Holstein [Weimar, Mitte Januar 1804?] Encore quelques jours, Madame, et m'eveillerai comme d'un long reve en Vous revoyant. C'est allors que je Vous remencierai de Votre indulgence, de la bonté avec la quelle Vous Vous interesses a mes petites choses, en Vous avouant que j'ai un peu honte de mon indisposition prolongée qui auroit du disparoitre deja longtemps en honneure et gloire de Votre presence. Adieu Madame, au plaisir de Vous revoire bientot. Mes complimens et mes excuses pour Mr d. Constant. Goethe.