1/18. An Ernst Wolfgang Behrisch [Leipzig, 10. oder 11. October 1766.] Je serois bien ravi de pouvoir Vous parler encore une fois avant Votre depart. Je serai jusqu'a trois heures chez – ou je suis toujours, et Vous nous feries un plaisir infini d'y venir; de trois a quatre Vous me trouveres au logis, et ce sera dans me de ces entrevues que je pourrai Vous donner mon Virgile, que mon camerade a enfermé. Adieu mon ami, j'aurois beaucoup a Vous racconter. Une nouvelle avanture vient de se joindre à mon roman, deja asses embrouillé; Vous ne la pourres jamais deviner, si je ne Vous en fais pas confidence, toutefois, Vous pouvez comprendre qu'il y a de l'amour.